• Après Winnipeg (dans laquelle on se paume en voulant aller voir downtown), le paysage changent enfin. Des vallonnements, des forêts de boulots, pas mal de petits lacs avec de temps à autre des barrges et des huttes de castors.
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    Ensuite, on rentre dans ll'Ontario; ça devient de plus en plus valonné et les lacs deviennent de plus en plus grands. Il y en a partout, 1000 entre Kenora et Minnitaki.
    On s'arrête à Minnitaki, assez tôt, on se trouve un lac, on sort le canoë et on se fait un camping sauvage à l'autre bout, dans une crique bordée d'une falaise de granit.
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    On est accueilis pr une famille de belettes/fouines (?). L'une d'entre elles passe entre les pieds de Pierre qui avait débarqué.

    On pose le campement. Pierre se la fait hamac; on a acheté une moustiquaire pour ça, et là,les moustiques sont omniprésents. Pour ma part, je préfère la tente.
     Dans la forêt, à quelques dizaines de mètres, on repère des traces dans la boue; un gros blaireau, ou un petit ours...

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    On se fait la désormais habituelle séance d'accrochge de sac de bouffe dans un arbre, un peu éloigné du camp.
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    Au cours de la nuit, je suis réveillé plusieurs fois par l'appel de loups, au loin, qui partent en chasse. A part ça, pas un bruit. Pierre a entendu des pas un peu avant de s'endormir, pas loin de la tente. Au matin, on va voir, mais on ne trouve pas de traces.
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  • On rentre à la  civilisation avec notre fidèle canoë, après un petit bain matinal dans le lac tout lisse.

    Le vent se lève, et le temps change. On s'arrête regarder un énorme ours noir à 200m de la route. On se demande si les canadiens s'arrêtent encore pour regarder les ours. On en voit autant que des renards chez nous, et on conclut que ça doit être comme chez nous avec les renards, certains canadiens doivent le faire et d'autre pas....

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    On passe Thunder Bay après avoir essuyé un petit orage (normal !) Les points de vue du Lac Supérieur sont rares car la route en corniche est bordée d'arbres.

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    Pluie. C'est vraiment dommage car les paysages sont superbes.

    On se décide d'aller dans un camping, plus que rudimentaire, mais d'un accueil sympatique.

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    Plan grosse fain: deux quarts de riz, quatre quarts d'eau. quand c'est cuit, on jette dedans une boite de chili con carne. Pas mal. Un peu rustique, mais ça cale bien. Pour se rattraper question produits frais, on essaie de manger des fruits en roulant, le plus souvent possible.

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    On se pieute, Pierre dans son hamac, moi dans la tente. Averse au milieu de la nuit, j'entends Pierre qui ouvre puis referme la voiture... Bruits de bâche... Passé en mode "pluie".Photo:

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    On repart de notre camping. Les paysages de l'Ontario sont toujours aussi beaux, mais les montagnes s'effacent peu à peu En fait de montagnes, on est entre 400 et 500 mètres, mais avec des lacs partout, des forêts sans arrêt. Tous les km, un panneau nous met en garde contre les orignaux, mais on n'en voit pas la queue d'un (pourtant c'est gros )

     

     

    On se trouve un camping sauvage; pas facile, on n'est pas loin d'une ville (Sault Sainte Marie) et il y a des maisons partout dans la campagne environnante...

    Ce soir, pâtes à la sauce tomate et pisson fûmé acheté chez les indiens (enfin, qui vendent du poisson dans un parc "first nation"...).

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    Les parcs sont à fuir pour camper, car ils faut payer en plus du camping -qui n'est pas donné- le droit d'entrer dans le parc. 35 $ pour juste passer la nuit, c'est vraiment trop. On ira au camping quand on voudra séjourner un peu, comme par exemple à Québec-city que nous comptons visiter à pied.

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    Départ à 6h30. Pierre dort. J'espère le réveiller, en cas de rencontre d'orignal, mais non... Du coup, on fait une bonne journée, en kilomètres.

    On s'arrête purtant un quart d'heure dans unn bled, car il y a unn concours de bûcherons (et de bûcheronnes). L'espèce d'ours au premier plan a coupé son  rondin vertical (40 cm de diamètre) en une dizaine de coups de hache - un vrai rasoir - qu'il bichonne avant et après sa démonstration, qui  dure à peine une minute...

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    A propos d'ours, un peu avant Ottawa, Pierre repère une ourse avec ses deux oursons. On s'arrête, on prend des photos, des canadiens également, ce qui répond à notre interrogation Ceci dit, beaucoup de voitures ne se sont pas arrêtées, alors que l'ourse était bien visible, à 30 m, dans une zone bien dégagée.

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    Quand elle en a eu assez de se faire observer, elle a passé la clôture en passant ses deux antérieurs au sommet du poteau en béton (1m80 environ), et a monté les deux pattes arrières comme à une échelle, avec une facilité déconcertante. Une fois les quatre pattes posées sur la toute petite surface du poteau, elle a sauté de l'autre côté. Le tout en une seconde, comme si elle avait fait ça toute sa vie...

    Les oursons,on ne les voyait que par intermittence, quand ils se dressaient sur leur pattes arrières. Ils ont du passer à travers le grillage, car sur certaines photos en les voit en avant, et sur d'autres en arrière du grillage.

    Petit tour dans Ottawa. En voiture,on n'apprécie pas vraiment, mais s'arrêter, c'est vraiment compliqué.

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    Passage du pont sur Ottawa River, et arrivée dans la belle Province, à Gatineau.

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    Encore des recherches pour trouver un campement sauvage (toujours des parcs aux endroits les plus chouettes). Couchés un peu après le soleil.


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  • Cérémonie habituelle: petit déj' (tartines de beurre de cacahuettes, confiture, fruits) démontage de la tente, pliage et rangement (sommaire) des affaires, et c'est parti pour Montréal.

    Mais auparavent, ayant trouvé très insolite notre dernier lieu de campement, nous décidons d'y laisser notre mascotte une espèce de dragon en peluche hideux que Pierre avait récupé pratiquement dans une poubelle, en Alberta, etqui a voyagé assis sur le coffre de la  Volvo. Pierre est persuadé que la mascotte nous a épargné des tracas policiers ceux-ci ayant le regard focalisé sur l'insolite -et les couleurs pétantes- de la peuche, ils négligent de s'intéresser plus sérieusement au support, dont ce qui reste du pot d'échappement tient avec un fil de fer et les carters de protection du moteur avec de la ficelle...

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    Notre mission d'aujourd'hui: manger des poutines dans un restau que nous a indiqué François, le copain de Pierre, seullement il ne se sovient plus vraiment  de l'adresse, seulement que c'est "l'Iceberg", à moins que ce ne soit 'l'Igloo".

    Avant d'aller en ville, on prend le canoé, on se trouve un endroit tranquille sur une ile de la rivière Outaouais, et on se lave -une fois n'est pas coutume -

    On cherche donc à se connecter pour faire nos recherches sur Internet Pierre dégotte un Igloo à Laval, juste à coté de Montréal; Avec l'adresse, et leur système de-numéros-qui-vont-super-bien-pour- trouver, on tourne une plombe dans un quartier où lles numéros sautent de 200 en avant, où les rues s'appellent encore pareil deux rues plus loin, en plus un quartier moche, et donc on laisse tomber, pour aller dans le vieux Montréal.

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    Et là, j'ai un petit pincement au coeur: on est vraiment en Europe Finies les villes aux dimensions des bagnoles, on marche à pied sur des pavés (qu'est-ce que ça fait du bien....). Le Vieux Montréal, c'est tout petit. ça tient du Quartier Latin et des Ramblas, y'a des portraitistes, des joueurs d'accordéon avec un béret basque sur la tête (z'en font un peu trop, mais ça fait plaisir quand même.)

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    On se fait donc nos poutines en terrasse, en bon touristes, et on finit notre tour à pied pour rejoindre la voiture, garée à quelques encablures, sur le vieux port...

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    On passe devant "La Maison des cyclistes" et plus loin,devant le site olympique; on suit un moment le Saint Laurent. Arrêt dans un cyber-restau-rapide où un coca et une boisson affreusement sucrée nous donnent un alibi que nous estimons suffisant pour squatter la connexion wifi et deux prises de courant pendant une bonne heure...

    La suite... demain!


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