• Ahhhh ! Quel bonheur de passer une bonne nuit, sans voisins bruyants !

    On s’est levés finalement assez tôt, en forme et de bonne humeur. D’ailleurs, on est toujours de bonne humeur quand on se lève, car l’aventure recommence… Il faut faire plein de choses, le café, le rangement et le chargement des vélos, et même si comme lors des derniers jours on a subit, quand on se lève, ce n’est plus pareil, on agit !

    Courses à la petite épicerie située en face du restau d’hier soir, et nous voilà repartis sur la piste. Au bout de 500 mètres bien goudronnés, on tombe sur de l’herbe !

     

     

    Quatre kilomètres à peu près, assez doucement pour ne pas faire souffrir les vélos, puis on a roulé sur plein de petites routes qui relient les villages entre eux.

     

    Très jolis les villages, des petites maisons toutes simples, souvent un peu fatiguées, mais toujours fleuries. Les gens dans cette région sont plus conviviaux que dans le nord de la Hongrie. Souvent on nous fait un signe d’amitié, à la pause de midi, Bertrand qui a photographié un autochtone avec une carriole attelée à un tout petit cheval a plaisanté en hongrois. On n’a rien compris, sauf Bertrand à qui l’homme à confié sa bouteille d’eau de seltz pour nous asperger !

     

    On a l’impression que le gens, ici, sont simples et s’acceptent comme ils sont : des gens de la campagne, qui vivent entre eux, sans beaucoup d’argent si l’on en juge par le nombre de vélos par rapport aux voitures. Dans le nord, on a eu l’impression que les Hongrois étaient un peu complexés par rapport à leurs voisins autrichiens, qu’ils auraient aimé vivre sur le même standing, mais que bien sûr ils n’y arrivaient pas ? D’où des maisons, comme disait Brel « qui aimeraient avoir l’air, mais qu’on pas l’air du tout... »

    On s’est retrouvé ensuite sur une piste en haut de la digue, avec deux single-tracks bien roulants, mais la chaleur et la fatigue aidant, la vitesse du groupe est vite tombée à pas grand-chose…

    On a décidé de s’arrêter pour se restaurer, reprendre des forces. Un litre et demi d’eau gazeuse chacun, un demi-litre de lait chocolaté, un yaourt aux fruits, du chorizo avec du pain aux olives, des tomates…

    Il restait encore 30 km pour rejoindre Baja. Sur la piste, ça faisait 2h30 au bas mot, en appuyant un peu sur les pédales.

    On est reparti, et juste après Fajsz, le village où nous avions fait notre pause, surprise, les singles avaient laissé la place à un beau ruban goudronné au sommet de la digue. A chaque virage, on s’attendait à ce que ça s’arrête, mais non ! Nous avons eu cette belle piste jusqu’à Baja, ce qui nous a permis d’arriver avant l’orage qui menaçait.

    Le temps de nous enregistrer au camping et de monter les tentes, et c’était la tempête et le déluge !

    Rétrospectivement, on s’est dit qu’on a eu beaucoup de chance de ne pas se prendre l’orage sur la digue.

    Se lever tôt, c’est quand même pas mal. Ça permet de rouler à la fraîche et surtout d’éviter l’orage quand le temps est comme ces jours-ci, avec des températures assez importantes.

     


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  • - On s’en va où, aujourd’hui ?  Demande Bert au chef navigateur

    - Apatin : a patine dans la boue…

    Mauvais calembour, mais ce matin vu l’humidité ambiante on espère que ça ne se produira pas dans des passages herbeux comme ceux déjà rencontrés au cours des derniers jours.

    Sortie de Baja un peu laborieuse, mais on les panneaux EV6 au bout d’un quart d’heure…

    On se retrouve sur cette très longue digue qui protège les environs du Danube des crues qui doivent être monstrueuses..

    Ça roule bien, on a le vent de face et on prend l’aspi. Bertrand qui roule à présent très correctement assure l’essentiel des relais : 25 km/h vent de face, toujours le même rythme. Une vraie machine…

     

    Samedi 28 juillet Baja Sombor

    Toujours de belles petites fermes en contrebas de la digue, de l’autre côté du Danube.

     

    Samedi 28 juillet Baja Sombor

    Samedi 28 juillet Baja Sombor

    Samedi 28 juillet Baja Sombor

    Arrivés à 5-6 km de la frontière, on croise une voiture de policiers. Et puis on aperçoit au loin des guérites sur la piste. On s’attend à montrer nos papiers, et continuer sur la digue, mais on nous explique que le point de passage de la frontière n’est pas là, qu’il faut faire un détour d’une dizaine de kilomètres pour l’atteindre.

    En fait, devant, il y a une enclave croate, et nous avons supposé que c’était trop compliqué pour la police des frontières hongroise à gérer, étant donnée la situation actuelle où la Hongrie refuse tout accueil de migrants, et par conséquent surveille activement ses frontières sud.

    Effectivement, sur la déviation, on a croisé un poste de police avec 2 policiers (parfois des policières) tous les 500 mètres environ et une dizaine de voitures patrouillaient sans arrêt…

    Samedi 28 juillet Baja Sombor

    Samedi 28 juillet Baja Sombor

    Délire paranoïaque… Dans la région il n’y a rien, aucun moyen de transport qu’on peut prendre sans se faire remarquer, aucun endroit où s’abriter, et une population qui doit être bien conditionnée à coopérer avec la police. Tel ce type en mobylette qui s’est arrêté lorsqu’il a vu notre petit attroupement ; on avait croisé un hongrois en vélocouché (Challenge) et doublé en même temps 3 espagnoles sur des vélos de ville, habillées en espagnoles avec des jupes à volant et des nœuds dans les cheveux (incroyable!), et qui a demandé « Alles in Ordnung ? »…

     

    Samedi 28 juillet Baja Sombor

    Check Point Charlie, à côté du poste frontière qu’on a passé, c’était de la rigolade…

    Samedi 28 juillet Baja Sombor

    On ne nous a pas fouillé les sacoches, mais à la limite on s’y attendait…

    Côté serbe, tout change : en voyant mon drapeau tricolore, les gens nous klaxonnent chaleureusement quand ils sont en voiture, nous font des grands coucou quand ils sont à pied ou à vélo. Est-ce par rapport à la traditionnelle amitié franco-serbe (un peu entamée quand même pendant la guerre du Kosovo), où à la dernière Coupe du Monde, où la France a éliminé la Croatie , ennemi héréditaire à la dernière Coupe du Monde…

    Du fait de la déviation évoquée plus haut, nous avons changé notre destination initiale, Apatin, pour Sombor, où nous avons trouvé un petit camping super sympa pour cyclotouristes uniquement….

     

    Samedi 28 juillet Baja Sombor

    Samedi 28 juillet Baja Sombor

    Excellent accueil avec café de bienvenue et limonade à la cerise faite par Madame...

     

    Sympa, mais très spartiate. Chiottes à la turque (inventés en 1808 par les Belges). Y'en a parmis nous qui n'avaient jamais vu ça !!

     

    Samedi 28 juillet Baja Sombor 

     On est allé manger en ville. Restau cuisine familiale, bon, copieux, pas cher. Une marche après histoire de trouver la recharge de gaz de Bertrand (histoire récurrente qui dure depuis.... 5 ans !)

     

    Samedi 28 juillet Baja Sombor

    Samedi 28 juillet Baja Sombor

    Samedi 28 juillet Baja Sombor

    La ville (50000 habitants) est coquette, avec une grande et large rue piétonne très animée le soir, et de beaux  bâtiments dans le style "Mittel Europa", qui passe beaucou mieux ici qu'à Vienne. Histoire d'ambiance...

    Demain, pas de blog.. Etape un peu longue qui se termine sur une plage sur le Danube. Pas de Wi-Fi !


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  • Comme hier, nous n’avons pas vraiment fait ce qui était initialement prévu. Nous sommes partis de Sombor pour rejoindre directement Apatin par la route. Belle route, belle vitesse, absolument rien à voir, paysage tout plat sans trop de villages et des lignes droites de 10 km. Mais au moins ça avance…

     

    Au passage, le compteur a affiché 2000...

     

     

    Apatin, Bogojevo… Toujours de la route, et une bonne moyenne. Et c’est là, qu’on ne sait pourquoi, on a voulu rejoindre l’EV6 dont on a vu les panneaux et dont la trace était enregistrée sur le téléphone de Bernard. D’ailleurs, je me demande comment les gens qui n’ont pas le téléphone de Bernard peuvent trouver la piste de l’EV6, car absolument rien ne l’indique.

    Toujours est-il que nous avons suivi le chemin du canal Karavukovo qui était dans un état déplorable, défoncé par des tracteurs et bien humidifié par les récentes pluies : grosse galères.

    J’ai assisté à des chutes dans la boue (inutile d’insister je ne dirai pas de qui il s’agit), entendu d'autres dire que encore une fois comme cela, ils rentraient en train puis en avion chez eux, mais une chose est sûre : à aucun moment l’ambiance du groupe ne s’est dégradée, et c’est l’essentiel. Récompense à la fin de notre trajet boueux : l’observation d’une huppe faciée (ça c’est pour B&N qui se reconnaîtront)

    Nous arrivâmes harassés, fourbus, crottés, fatigués dans le village de Deronje où par bonheur une épicerie était ouverte.

    Un gamin d’une dizaine d’années vient vers nous et nous demande en français si nous sommes français (avec le drapeau sur mon vélo…), nous dit qu’il s’appelle Milan, qu’il est français et qu’il est en vacances chez sa grand-mère. Présentation de la grand-mère, du grand-père qui nous interview avec une caméra et de la mère qui habite dans vraiment improvisée et très et qui connaît la ville de Pontarlier… Rencontre improvisée et vraiment très sympathique.

    Incroyable également aujourd’hui encore le nombre d’automobilistes qui nous font des signes amicaux. Bertrand n’en revient pas, nous non plus d’ailleurs. Contrairement aux Hongrois, ils viennent nous voir, essaient de communiquent avec nous même s’il ne parlent pas un mot de français, d’allemand ou d’anglais, sont très curieux de nos vélos. D’avoir retrouvé une bonne route, avec un plus un vent favorable, nous avons roulé comme des brutes jusqu’à Basca Palanka où nous devions planter les tentes en sauvage.

    On a commencé par y casser la croûte, mes deux pingouins ont fait trempette et comme il était vraiment trop tôt pour s’arrêter, on a décidé de pousser un peu plus loin. Bien nous en a pris, car une de mes sacoches a été littéralement investie par une fourmilière. Obligés de tout vider, tout brosser, tout ranger. Si nous y avions passé la nuit, sûr que demain, on ne retrouvait que trois squelettes bien nettoyés. Nous avons décidé de nous rapprocher de Novi Sad (40km), d’y prendre une chambre -à supposer qu’il y en ait- de manière à faire une étape qui nous approchera au plus près de Belgrade demain soir, car nous avons élaboré un plan qu’on espère infaillible pour franchir le fameux « Pont de la mort ». D’après de nombreux récits de voyageurs (du moins ceux qui ont survécu), la seule façon de traverser le Danube à Belgrade est d’emprunter un pont d’autoroute et de continuer pendant 5 kilomètres sur la bande d’arrêt d’urgence. Forts de notre expérience canadienne où nous traversâmes naguère Calgary un dimanche à 5 heures du matin car Bertrand avait d’la misère avec les lumières (trad : du souci avec les feux tricolores), nous envisageons de faire de même à Belgrade, avant que les locaux ne se rendent au travail. Bref, après Basca Palanka, on a roulé très fort, ce qui nous a permis d’arriver jusqu’à Veternik, où nous avons trouvé une sorte d’auberge avec une chambre pour nous trois et un restau typique (brochettes-oignons crus-frites).

    Après le repas, nous avons préparé la route, comme chaque soir, avec Bernard. Il est favorable à une autre solution: rester sur la rive droite (où est bâti Belgrade), visiter plus ou moins rapidement selon les opportunités, et continuer rive droite pour prendre le pont à Smederevo. Le pont est-il autorisé aux vélos ???

    Checké sur Google Street... Pas vu de panneau d'interdiction pour les vélos...

    A suivre...


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  • Petit déj à 8 heures… pratiquement une grasse matinée…

    Bien entendu à 7heures on était trois à tourner en rond comme des lions dans une cage. Breakfast copieux, avec œufs au bacon et café turc.

    On a chargé les vélos, et on est parti sur le coup de 9 heures. Traversée de Novi Sad sans trop de difficulté, bien que la ville soit grande et très étendue, et on prend notre route pour aller en direction de Belgrade.

     

    Lundi 30 juillet Veternik – Novi Banovci

    Bernard, toujours au fait de l’actualité routière, nous informe qu’il y a des travaux sur la route principale, mais qu’on peut éviter en passant par une autre route près du Danube. Ça tombe bien, car la route principale commence par un 8 %.

     

     

    Tout contents, mes pingouins : « Les pingouins, me disent-ils, ça aime le plat ! ». On prend la petite route sur 3 kilomètres, et au bout : interdiction de passer ! Travaux aussi. Bon.

    Lundi 30 juillet Veternik – Novi Banovci 

     

    On fait demi-tour, et on se fait la côte… 3 ou 4 kilomètres, en plein cagnard…

    Petite pause en haut, on mange un peu tout ce qu’on a dans les sacs, tomates, pamplemousses, on boit pas mal d’eau.

    Du haut, le paysage nous paraît très beau, après des semaines de plaine.

     

    Lundi 30 juillet Veternik – Novi Banovci

    Et on repart… Enfin Bert et moi on repart, car Bernard reste en rade : dérailleur dans les rayons.

    Bricolage, tentative de rouage, même topo. Le tout dans une piste en terre qui tient lieu de déviation, en pente, avec des embouteillages de voitures !

    On s’arrête à l’ombre, on démonte les chapes et je les martèle un peu entre deux cailloux pour leur redonner une forme correcte. Remontage, condamnation du gros pignon trop près des rayons, et on repart.

     

    Lundi 30 juillet Veternik – Novi Banovci

     

    Petite récompense après l’ultime côte dans la piste en terre : le panorama sur la plaine du Danube. La photo ne rend pas bien à cause de l’humidité et de la brume, mais c'était très beau.

    .Lundi 30 juillet Veternik – Novi Banovci

    Ça gratouille un peu, mais ça roule, au moins sur les petits pignons, et ça tombe bien parce que justement après la côte, une très belle descente, pratiquement jusqu’à Indija où Bernard a acheté un Shimano Acera 8vitesses, qu’on a monté illico presto et réglé avec un peu de souci…

    Je profite de la pause pour faire le pont sur l'état des troupes: pas fameux...

    Lundi 30 juillet Veternik – Novi Banovci

    Lundi 30 juillet Veternik – Novi Banovci

    Galvanisé par sa nouvelle acquisition, et surtout rassuré sur l’état de son vélo, Bernard nous fait un bon bout à 30 km/h… Ce qui nous permet d’arriver assez près de belgrade. Recherche d’une chambre, qu’on a finit par trouver par téléphone. Accueil incroyable, bières, coca, gâteau, d’une manière très discrète. La vraie hospitalité. L’appartement est tout neuf, bien équipé, deux lits seulement (ce soir c’est moi qui gonfle le matelas), garage pour les vélos, Wi-Fi, le tout pour 30 euros, 45 avec le petit déjeuner servi à 7 heures à notre demande !

    Quand bien même il y aurait un camping à proximité, pas sûr qu’on paie moins cher !

     

     


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  • Lever un peu avant 7 heures. Notre logeuse nous informe que le petit dej est prêt pile à l’heure dite : 7 heures. Une monstruosité de buffet avec jambon, fromage, rôti de porc froid, diverses charcuteries, toasts et petits pains. Impossible d’en manger ne serait-ce que le tiers…

    A huit heures, on décolle.

    La vraie aventure, c’est aujourd’hui. Moi, traverser des campagnes, des pistes en herbe, en boue, des fortes pentes ça me va finalement pas trop mal. Mais traverser les villes, je déteste. Encore que les Serbes sont vraiment sympa au volant, ça se passe bien, même quand le bus de transport urbain nous suit à 7 km/h dans une rue en pente, pas un klaxon, pas un signe d’énervement, rien. C’est comme ça. C’est là qu’on voit qu’on est déjà un peu en Orient…

     

    On traverse des quartiers moches, on roule sur les trottoirs, on essaie de garder notre cap à l’Est malgré les sens uniques.

     

    Mardi 31 juillet Novi Banovci – Kovin

    Mardi 31 juillet Novi Banovci – Kovin

    On n’aura pas vu grand-chose de Belgrade, à par un parc immense avec des bâtiments non moins immenses et vide. Je suppose que ce doit être l’Université.

    Mardi 31 juillet Novi Banovci – Kovin

    Mardi 31 juillet Novi Banovci – Kovin

    Beau parc, belle piste cyclable, mais...

     

    Mardi 31 juillet Novi Banovci – Kovin

     

    Le passage sur le pont de la Sava nous offre une belle perspective sur un quartier est.

     

    Mardi 31 juillet Novi Banovci – Kovin

     

    Et on finit par s’évader.

    Et on attaque ma première côte (3km à 6 % environ). Cagnard, pas d’ombre, on transpire bien.

    Bernard arrive un peu avant Bertrand.

    On se regroupe, on se fait une belle descente jusqu’à Grocka où nous dévalisons une épicerie, en particulier le stand de lait au chocolat et l’eau gazeuse.

     

    Mardi 31 juillet Novi Banovci – Kovin

     

    On repart. Seconde côte. Bernard arrive le premier, et Bertrand… coule une bielle : plus de jambes et finit à pied.

    Mardi 31 juillet Novi Banovci – Kovin

    Beau point de vue sur le Danube dans cette seconde descente: toujours mieux vu de haut...

     

    Mardi 31 juillet Novi Banovci – Kovin

     

    J'ai pris cette photo en me disant que peut être j'oserai. Bon j'ose...

    Mardi 31 juillet Novi Banovci – Kovin

    Très bon restaurant, mais souvent plein (Ok, je sors...)

     

    Une belle surprise quand même à la sortie, la forteresse, absolument pas indiquée ni mise en valeur ni seulement entretenue un minimum...

    Mardi 31 juillet Novi Banovci – Kovin

    , On se traîne jusqu’à Kobin, après avoir traversé l’interminable pont (finalement autorisé aux vélos).

    Mardi 31 juillet Novi Banovci – Kovin

    On entre dans Kovin par une route qui longe une zone qui a du être industrielle, Le gazoduc ne doit certainement pas amener grand chose...

    Mardi 31 juillet Novi Banovci – Kovin

    On se renseigne pour une chambre auprès d’un Serbe, qui, désolé de ne pas pouvoir nous offrir l’hospitalité, nous offre une bouteille d’eau fraîche et nous indique un hotel « pas très cher » à 200 mètres de là, Hotel malheureusement en réfaction, mais où la charmante réceptionniste (ou patronne?) nous recommande un autre en ville.

    On laisse Bernard négocier l’affaire, et on s’en sort pour une chambre à trois pour 40 euros… Rien à dire, d’autant qu’on n’avait pas trop de choix non plus..

    Douche, petite lessive, étendage sauvage, et on va chercher un restau...

    Mardi 31 juillet Novi Banovci – Kovin

     

     

    Le centre ville de Kobin n'a rien à envier à celui de Smederevo, et vice-versa...

    Mardi 31 juillet Novi Banovci – Kovin

    La photo n'est pas droite, je l'ai prise à la dérobée, je n'ai pas osé cadrer...


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