• Super bien dormi. Chambre "familiale" avec un grand lit et un petit. Bertrand m'a laissé le grand, étant donné que je suis son aîné. Je suis rentré un quart d'heure après  lui, visiblement  (ou plutôt acoustiquement) le fait d'être dans le petit lit n'avait paas l'air de le déranger...
    Vraiment bien dormi, la chambre était dans une arrière cour très tranquille. Ce matin, on a pris un nescafé (il ya tujours une bouillire et du nes' dans les chambres), on a roulé 10 bornes et on s'est arrêté dans un magasin de bouffe, où on a trouvé de quoi se remplir la panse: pain aux céréales (ne rêvons pas, un truc parallélipipédique coupé en tranche et à la consistance d'une éponge humide), du beurre de cacahuètes, des tomates, des bananes et du lait  chocolaté.

    On s'est fait un petit dej improvisé sur un banc devant le supermarhé, tous les passants nous disaient un petit mot sympa, nous demandaient où on allait et d'où on venait. Certains nous ont dit "Bonjour" en français, à cause du drapeau sur mon vélo.
    Plus je voyage en dehors de la France, plus je trouve les gens sympa,. à part, bien sûr, en Suisse allemanique :-)
    Ici, c'est un peu comme dans l'Ouest du Canada, les gens ne te jugent pas sur ton allure, ni sur ton comportement ou tes occupations si elles sont différentes des leurs.
    Bref, on est repartis, et on a pris la très belle route A6 qui monte dans la montagne après Kendal, très jolie ville avec des maisons en pierres grises

    Mardi 19 août: bientôt l'Ecosse!

    Quand Je dis montagne, c'est sûr,ce n'est pas bien haut, mais bien raide !!! on a mis le petit plateau dans pas mal de rampes.

    Mardi 19 août: bientôt l'Ecosse!Mardi 19 août: bientôt l'Ecosse!Mardi 19 août: bientôt l'Ecosse!Mardi 19 août: bientôt l'Ecosse!Mardi 19 août: bientôt l'Ecosse!
    Ensuite on est redescendus à Penrith, où on a repris quelques forces dans un restau, et là, on va repartir, au moins jusqu'à Carlisle (30km), si c'est pas Gretna (45 km), première ville écossaise !

    Les photos ce soir...

    Edition du soir.
    On s'est fait les30 bornes entre Penrith et Carlisle, et on a truvé que c'était assez (110km quand même).
    Comme on a pris des  goûts de luxe, Bert et moi, on s'est arrêtés  dans un hôtel, très début de siècle (enfin, celui  d'avant), avec  beaucoup de charme.
    Je sais, je sais, les puristes du  cyclo-camping vont dire qu'on s'embourgeoise. C'est une manière de voir les choses. l'autre manière, c'est de se dire "qui c'est qui est prêt, à bientôt 60 berges, à faire une traversée de l'Ecosse en trike, loadé ben raide, en couchant sous la tente tous les soirs, alors que les B&B nous tendent les matelas la nuit et les assiettes le matin ?

    Mardi 19 août: bientôt l'Ecosse!


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  • Le petit déj était à 7 heures, alors Bert s'est réveillé à 6h20. Moi, j'ai trainassé un peu au lit. 40 minutes pour enfiler un T-shirt de vélo, un short et une paire de soquettes, c'est bien assez...
    On s'est pointé au breakfast à 7 heures, mais manque de pot, c'était 7h30. 
    Depuis je fais davantage confiance dans ma compréhension de la langue anglaise qu'à l'interprétation toute personnelle qu'en fait Bertrand.
    Breakfast classique; on n'a pas pris l'option poisson fûmé, mais rétrospectivement je regrette. Ce qui est bien, dans notre acivité, c'est qu'on peut manger tout et n'importe quoi, de toute façon c'est brûlé dans les heures qui suivent.
    En parlant de bouffe, hier soir nous sommes allé "prendre une marche", et comme on avait un petit creux, on s'est arrêté dans un "Fish and Chips", où on nous a servi du "cod" (cabillaud) frit avec des grosses frites. Copieux, pas vraiment raffiné, mais bon, surtout après une journée de vélo.

    Ce matin, nous sommes partis avec le soleil. Température fraîche (14°C), mais pas trop de nuages dans le ciel.
    Nous avons un peu galéré pour sortir de Carlisle, car on voulait prendre une petite route pour les vélos, la "National Bike Route n°7".

    Mercredi 20 août : Wellcome in Scottland !
    Après une quinzaine de kilomètres, nous avons trouvé la pancarte "Scottland". Bertrand a fait des photos avec son trike  tout seul pour Ice Trikes, et un type est sorti d'un bistrot d'en face, a traversé la route pour nous proposer de nous prendre tous les deux en photo.
    Gretna, première ville écossaise, puis Carlisle,

    Mercredi 20 août : Wellcome in Scottland !
    Petite route bien sympa, dans la campagne. Les paysages sont reposants: ici tout est vert. Les fermes sont plus petites, la campagne ne pue pas l'ensillage comme plus au sud.
    On a passé Dumfries, là où selon mon plan de route on aurait dû s'arrêter, mais comme il était encore bien tôt, on a continué vers l'Ouest, direction Ayr.
    Mercredi 20 août : Wellcome in Scottland !

    Mercredi 20 août : Wellcome in Scottland !

    Mercredi 20 août : Wellcome in Scottland !Mercredi 20 août : Wellcome in Scottland !
    Magnifiques paysages sous le soleil. ça ne ressemble à nulle part ailleurs. Des arbres magnifiques, majestueux, dont on a l'impression qu'ils vont puiser sous terre des énergies pas catholiques. Les murs de pierre, les arbres, ici il se passe des trucs bizarres, y'a du mystique, du druidique, du tellurique, c'est sûr. Moi qui suis un gars plutôt rationnel et cartésien, je sens bien qu'il ne faudrait pas grand chose pour que j'aille courir à poil sur la lande, une nuit de pleine lune, autour des cromlechs, en hurlant comme un loup...
    Heureusement j'ai amené un antivol de vélo, je vais m'attacher au radiateur et donner la clé à Bertrand :-)

    Mine de rien on a fait encore 80 bornes aujourd'hui, avec pas mal de "coup de cul" vers la fin. On s'est planté dans un petit bled, au doux nom de Moniaive (par contre, je ne sais pas comment ça se prononce)
    D'ailleurs ici, tout commence à se prononcer bizarre. Quan on demande notre route, on nous dit "You turn ray"
    B&B à Moniaive, chambre toute petite, mais plus grande que deux tentes (avec salle de bain). 50£, rien à dire, c'est guère plus que le prix du camping et de deux petits déj (surtout les breakfasts, c'est du costaud!)
    Demain, la côte Ouest, et si on roule bien, on prend  un bac pour rejoindre la presqu'ile d'Arranl, à l'ouest de Glasgow.
    Les grandes villes, à vélo, c'est pas notre truc. Soit tu te balades à vélo et tu évites les grandes villes, qui te font perdre du temps ette font rouler dans le trafic, avec tout ce que ça a de désagréable, soit tu y vas en touriste, à pied (bus, métro, etc) et là, tu profites de la ville...

    Edition du soir

    Nous sommes alléss manger une pizza dans le restau d'à côté. en revenant, dans la salle où on s'était installé,il y avait une jeune type qui jouait de la guitare. Au bout d'un moment, il me l'a passée; une Gibson folk des années 70! Jamais joué avec un truc pareil, une sonorité!!
    Au bout d'un moment est arrivée une fille avec une guitare, puis une autre, puis encore un gars.
    etait-ce le jour du concert dansc e bled paumé de 700 habitants? en tout cas, le niveau des gitaristes était top, les filles ont chanté des trucs en gaelique, ainsi qu'un gars tout seul, a capela, avec une très belle voix.
    Bert et moi avons enrgistré, on nous passera ça quand on sera rentré et  que j'aurai monté les films.
    Bon c'est pas tout ça, demain grosse étape si on veut voir la mer, allez hop! au pieu!


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  • 7H45 ce matin! Un record! On a regardé par la fenêtre, et c'était bien gris, et même bien pluvieux. Pas un temps à accrocher mes bobettes sur ma ligne de pêche. J'ai même reenfilé, au moment de partir, mon T-shirt humide d'avoir été lavé hier soir. Autant garder sec celui qui est sec, de toute façon, il ne le serait pasresté longtemps.
    Breakfast, avec cette fois-ci, en plus des traditionnelles sausages et tomates une tranche de boudin, fait dans un assez gros boyau, recouverte d'une couche d'un truc très goûteux à base d'oignons. Un vrai délice! Et avec ça un peu limite, question digestion, ce qui fait que je n'ai pas eu faim de la matinée.

    Jeudi 21: Direction l'île d'Arran

    Le trajet: traversée d'un petit massif;on a monté pendant bien 10 bornes, sous une pluie tntôt fine, tantôt soutenue. K-Way, casquette, capuche par dessus, gants... Tant qu'on roule, on n'a pas froid.
    Un moment, on s'est demandé où on allait, si on était vraiment sur la bonne route, ou plutôt;si la route menait quelque part. On a passé une grille sur la route faite pour empêcher les bestioles de traverser, et après ça, des bestioles, il y en avit partout, dans les pâtures, sur la route, dans les bas-côtés. Beaucoup de moutons à cornes, et quelques vaches Gallaway (c'est la région).

    Jeudi 21: Direction l'île d'Arran

    Tout ça sous la pluie, mais vraiment c'était tellement beau sous la pluie qu'on était d'accord, Bert et moi, pour dire que ça aurait été dommage de passer là sous le soleil.

    Passé un petit col, tout a changé, les arbres sont devenus beaucoup plus petits, la végétation inclinée, comme déformée par le vent, et il nous a bien sentir comme une odeur d'iode. C'est sûr, on était du côté Ouest du massif.
    Descentes sur des revêtements des fois franchement pourris, des fois tout neufs jusqu'à Ayr où nous avons mangé un sandwich.

    Jeudi 21: Direction l'île d'Arran

    Bert a pété un rayon sur sa roue AV G. Il flippe un peu, car il se demande si ça va tenir jusqu'à John O' groats avec 35 rayons au lieu de 36 :-). On a fait deux magasins de vélos, mais pas un n'avait de rayon de la bonne longueur. J'en ai profité pour acheter une pir de superbe pneu de 20' orange fluo, car les miens (neufs il y a quatre jours) sont raides. Y'en a un qui est usé jusqu'à lla corde. Mauvais parallélisme, à coup sûr, après le démontage/rmontage du train avant pour entrer dans le carton.

    Jeudi 21: Direction l'île d'Arran

    Je les monterai penant la traversée, demain, entre Lochranza et Claonaig.
    Le soleil, entre temps, jouait un peu avec les nuages. Un coup du soleil, le quart d'heure suivant une bonne rincée. Finalement c'est le soleil qui a gagné et nous avons même retiré les K-Way. On a fait un peu les touristes en décapotable sur la route côtière, et on est remonté vers le nord. Au restau, on avait décidé d'essayer d'embarquer ce soir vers l'ile d'Arran; on la traversera du sud au nord, puis par un second bac on regagnera le « continent ». On évite ainsi toute l'agglomération urbaine de Glasgow.

    Jeudi 21: Direction l'île d'Arran

    Il y avait un ferry juste ¼ d'heure après notre arrivée à Ardrossan, on a eu juste de temps de prendre un ticket et de monter dans le ferry. On s'est aperçu ensuite que c'était le dernier de la journée...

    Jeudi 21: Direction l'île d'Arran

    Jeudi 21: Direction l'île d'Arran

    Arrivés à Brodick, sur l'ile d'Arran, on s'est trouvé un hôtel merdique (on ne le savait pas avant d'entrer), chambre limite cradingue, les prises qui ne sont pas comme dans tout le reste de l'Angleterre, et le WIFI qui ne fonctionne pas.

     

    Du coup, faudra attendre demain pour donner des nouvelles...


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  • Le breakfast, contrairement à notre attente, n'était pas si pire... et on a eu au moins la chance de profiter de la vue panoramique sur la baie deBrodick.

    Vendredi 22: It's a long way...

    Vendredi 22: It's a long way...

    Vendredi 22: It's a long way...

    Vendredi 22: It's a long way...

    Pas un vrai mouton, mais ici, les bites d’amarrage sont à poils laineux (à poil les noeuds, à poil !)

    Vendredi 22: It's a long way...

    Traversée de l'Ile, on est passé devant ladistillerie de whisky de l'Île d'Arran, mais à 11 heures du matin, j'ai préféré de pas m'arrêter.

    Vendredi 22: It's a long way...

    Vendredi 22: It's a long way...

    Nous sommes arrivés à l'embarcadère, j'ai commencé à changer mes pneus avant, on a fait connaissance avec les midgies, et il a commencé à pleuvoir. Des Québecois en camping-car de location (un couple avec une petite fille) nous ont offert le café en attendant le ferry. Du coup oon s'est rentrés, le temps que la pluie passe. Et puis on a vu arriver le ferry, j'ai fini de remonter mon premier pneu et j'ai attaqué le second, après avoir estimé le temps qu'il fallait au ferry pour arriver. Alors ça, c'est un truc qui met Bertrand vraiment mal à l'aise. D'ailleurs des fois je me demande si je ne le fais pas un peu exprès, lui qui aime  bien être prêt une demi-heure avant que ce ne se soit nécessaire. Inconsciemment, je dois lui faire payer tous les levers un quart d'heure avant que le breakfast soit prêt... :-)

     

    Vendredi 22: It's a long way...

    Pendant la traversée, on a ben jasé avec d'autres cyclistes, des anglais très sympa qui nous ont indiqué les routes possibles à prendre pour aller au Nord.

    Vendredi 22: It's a long way...

    Remontée vers Tarbert, très joli village de pêcheurs, Lochgilphead, puis traversée de la prequ'ïle de Argyll.

    Vendredi 22: It's a long way...

    Vendredi 22: It's a long way...
    la route, ici, c'est out simple: ou bien on suit une côte et c'est relativement plat, ou bien on passe d'un côté d'une presqu'ile à un autre et alors on traverse des collines, et là, on tombre sur des coups de cul bien raides.
    On a fait une erreur à Tarbert: il y avait une épicerie, on aurait dû faire des provisions, car ensuite, on est passé par une route sans beaucoup de villages, et sans aucune épicerie. Si bien qu'on a fini par viser Oban, ville assez grande.
    Par contre, il a fallu appuyer sur les pédales plus que prévu: comme on avait fait la veille une assez grosse étape, on avait prévu d'en faire moins aujourd'hui... et après tout, une bonne chambre bien chaude, une bonne douche, ça valait le coup de faire une vingtaine ou une trentaine de bornes supplémentaires.

    Vendredi 22: It's a long way...
    A Oban, des B&B partout, mais tous complets! Plus un lit disponible, à cause d'une crisse de compétition importante de kayack ! No vacancies! Everywhere!
    Alors on a paré au plus urgent: acheter de la bouffe, et ensuite on s'est trouvé un coin tranquile pour planter les tentes... Pique nique presque nocturne en compagnie des midgies (pas si terrible que ça, les midgies), et dans le sac de couchage...


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  • Première nuit sous la tente, et première réponse à mes inquiétudes: les midgies ne passent pas à travers la moustiquaire ! Pas évident a priori, tant elles sont minuscules, ces sales bibites. Bien sûr, il faut mettre un tissu devant les curseurs des fermetures éclair, car il y a toujours un petit jour, mais ça, on a l'habitude, depuis Hearst (voir nos aventures de l'an passé).

    Samedi 23 : Journée relax vers Fort William

    Pas de pluie pendant la nuit, mais bien humide quand même au réveil. Mais vraiment bien dormi, pas eu froid, malgré l'état de fatigue que nous avions hier au soir.

    Samedi 23 : Journée relax vers Fort William
    On a décampé, chargé les vélos et on est reparti, dans l'espoir de trouver un coffee-shop. On en a trouvé un, mais il était fermé. Du coup on a pris de l'eau à la station-service d'en face, j'ai sorti le réchaud et la cafetière, et on s'est fait un petit déj sorti du sac, pain, beurre d'arachide, confiture, miel. Bertrand a tenté de boire mon café, que pourtant j'avais fait exprès pour lui avec les dosages pour québécois que j'avais testés l'an passé, mais il est allé s'acheter du lait pour que ça puisse passer {Séquence « café » spéciale pour Lyse – j'espère qu'elle nous suit sur ce blog, et je lui passe bien le bonjour, ainsi qu'à Remy :-) ]

    Samedi 23 : Journée relax vers Fort William 

    On a fait ensuite une grande pause dans un café bien sympathique où il y avait du WIFI, ce qui m'a permis de mettre en ligne les textes et photos des journées d'hier et d'avant-hier.

    C'est un peu mes devoirs de vacances, ce blog, mais tout compte fait, la rédaction, chaque soir, de ce carnet de voyage est indispensable pour mieux situer, ensuite, les étapes.

    Surtout ici.

    Les paysages sont si variés qu'il est impossible, pour Bertrand et moi, de nous rappeler exactement où telle photo a été prise, sur quelle côte, de quel loch ou de quelle île il s'agit.

    Samedi 23 : Journée relax vers Fort William

    On est ensuite reparti, sur une route assez plate qui suivait la côte. Je pense que l’Écosse doit faire partie des pays qui ont le plus de routes côtières. La région où nous nous trouvons est une succession de presqu'iles et d'iles, orientées SO-NE, on passe sans arrêt d'un bras de mer à un autre, souvent en franchissant une colline avec des pentes bien raides.

    Samedi 23 : Journée relax vers Fort William

    Samedi 23 : Journée relax vers Fort William

    Samedi 23 : Journée relax vers Fort William

    Samedi 23 : Journée relax vers Fort William

    Samedi 23 : Journée relax vers Fort William

    Samedi 23 : Journée relax vers Fort William

    Samedi 23 : Journée relax vers Fort William

    Samedi 23 : Journée relax vers Fort William

     

    Nous avons emprunté aujourd'hui la « National Cycle Road » entre Oban et Fort William, une piste cyclable, séparée de la route,dont le tracé est certainement celui d'une ancienne voie de chemin de fer.
    Nous sommes arrivés à Fort William à 16 heures, nous avons mangé un « fish and chips » (excellent) et sommes allés ensuite au camping situé à 4 km à l'extérieur de la ville, mais pas sur la route de demain, ce qui va donner prétexte à Bertrand de se lever avec le coq.
    Il fera comme il voudra, pour ma part, je ne roule pas avant 8 heures et demi. Ce matin, il m'a embrouillé, me donnant au réveil une heure plus tardive qu'il n'était en réalité; bilan des courses, on est parti à 8 heures pétantes (lui était prêt depuis au moins 20 minutes) et on s'est caillé grave sur les vélos pendant une paire de miles.

    Samedi 23 : Journée relax vers Fort William

    Samedi 23 : Journée relax vers Fort William

    Samedi 23 : Journée relax vers Fort William

    Samedi 23 : Journée relax vers Fort William

    Voilà là toutes nos chicanes, on en rigole plus qu'autre chose, et c'est bien comme ça.
    Sinon, question température, on est vraiment chanceux car à part quelques passages nuageux et une averse de temps en temps, c'est tout le temps le soleil. Parfois, il faut attendre quelques minutes, pour prendre une photo, qu'un nuage s'écarte un peu du soleil.

    A propos des écossais: vraiment accueillants et très ouverts. Bertrand sur son trike a deux drapeaux du canada et un du Québec. Moi, un Canadien et un Français. Le coup des drapeaux, c'est vraiment une sacrée carte de visite! Combien de fois des gens sont venus vers nous pour nous parler en français!
    Beaucoup d'écossais connaissent le drapeau du Québec, contrairement aux français. Je me suis trimballé une paire de mois l'an passé avec, combien de fois on m'a demandé ce que c'était comme nation...

    J'ai balancé mes photos vite fait, comme ça. dans l’ordre chronologique de la journée, mais sans trop prendre soin de les raccrocher au texte. Tout ça parce que le WIFI du camping était dans le bistrot du camping, et que bien sûr c'était impossible de se connecter.
    On a demandé à une serveuse, qui nous a conseillé, avec un grand sourire, daller 300 mètres plus loin sur a route, qu'il y avait un café et que le mot de passe du WIFI de ce café était le nom du café. On y est allé, on a essayé, et banco! tout s'est mis à bien fonctionner. Encore une fois la gentillesse des Écossais...


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