• On reste à Val-David. C'est le jour du marché, on passe chez Ernest pour lui  demander s'il n'a besoin de rien  Il nous demande si ça nous dérange de l'emmener. On part donc avec lui au marché. ça lui fait du bien de voir des gens. Tout le monde le connaît ici, lui et son handicap (Parkinson) qui lui rend les déplacements très difficiles et exténuants). La rue principale est bordée de jolies maison de styleun peu victorien.

    Accueil

    On fait un peu le tour du marché bio; dégustation et achat d'excellent sirop d'érable, Ernest nous invite à manger chez lui, avec Louise qui est à vélo. Comme on n'a pas de place  pour tout le monde, le vélo et le déambulateur dans la voiture, je remonte le vélo de Louise, sur une route qu'on a faite à présent quelques fois...

    Rien à voir, un trajet à vélo avec un trajet en voiture. J'apprécie beaucoup ces quelques kilomètres sur un vieux VTT bien lourd...

    Ernest nous prépare un repas improvisé, mais délicieux, avec un morceau de saumon cuit au four avec une sauce à lui, et un couscous (je crois avoir vu une fiche de recettte avant-hier sur sa table, il s'agit certainement du coucous québecois dont le titre m'avait intrigué)

    Accueil

    Ernest habite une maison en bois très originale, et dans son jardin il y  a toutes sortes d'oiseaux (Pics, Sitelles )

    Accueil

    Accueil

     


    votre commentaire
  • Accueil

    La journée commence par un tour dans la propriété. Pierre entretien une piste pour les raquettes l'hiver, et met son chapeau d'explorateur (c'est assez grand).

    Accueil

    Accueil

    Nous progressons dans la forêt presque vierge. Soudain un bruit derrière moi. ATTAQUE D'OURS !!!

    Accueil

    Non! C'est Ella qui nous rejoint avec ses petites pattes...

    Accueil

    La journée se passe en douceur, entre petits aménagements dans le bateau, préparation du souper, histoires à se raconter.

    Accueil

    La soirée, passée avec une partie de la famille de Pierre, s'achève en musique. Piano, violon, guitares et harmonica.


    votre commentaire
  • On vient de rentrer des Laurentides. Nous avons pris congé de Diane et Pierre, après bien des aurevoir avec beaucoup d'émotion. Nous sommes auparavant passés chez Ernest où nous avons vu Louise, et Pierre a tenu à nus faire connaître un de ses bons amis, Louis, un incroyable menuisier-ébéniste-artiste aux idées géniales. Acueillis une fois de plus comme "les cousins". Sincèrement.

    Accueil

    Et puis voilà, nous somes repartis chacun de nos côtés, Pierre Vérot vers le Nord, Pierre et moi vers le Sud

    <!-- @page { margin: 2cm } P { margin-bottom: 0.21cm } -->

    On arrive avec la Volvo à Mirabel. Les Touchette ne sont pas là, mais ils ont laissé un mot sur la porte, et Pierre a les clés... Juste avant d'entrer dans leur lotissement, on se disait qu'on avait l'impression de rentrer « chez nous ». On ouvre, je rentre mes sacs et on se place dehors, avec nos petits ordinateurs, car la connexion « wifi » est meilleure. Pierre doit contacter ses équipiers avec lesquels il va rentrer à Vancouver. Un musicien, et une fille de Toronto qui veut emmener un vélo à Calgary...

    Ghislaine et Bertrand arrivent, je suis tellement heureux que naturellement, je fais la bise à bertrand, sous les yeux ébahis de ghislaine; jamais il na auparavant fit la bise à un copain! (ce n'est pas trop dans la culture au Québec)

    Trempette dans la piscine, délicieux poulet au gingembre, tours de vélos, glace prise avec Mickael dans le jardin, des projets se précisent. On parle de Ventoux, de vacances en France l'été prochain, et surtout de la grande traversée qu'on va faire, Bertrand et moi, dans trois ans. Tout à l'heure, il m'a dit, en rentrant de notre petit tour:

    Accueil

    "Tu vois, là, on vient de faire 3 kilomètres ll ne nous reste plus que 5197 à faire ensemble. J'aime son humour." (on a comme projet de faire Vancouver-Montréal ensemble à véo en juillet 2013....)

    Accueil

    Accueil

    La soirée se termine par une inévitable partie de Blokus, et nous règlons lles réveils sur 6h30...

     

     


    votre commentaire
  • Réveillé avant l'heure. Je refais mes bagages, les réarrange autrement car le sac est trop lourd sur la balance. Bertrand part au boulot on a prévu de jouer devant ses « clientes », de vieilles femmes grecques dont il s'occupe comme éducateur spécialisé.

    Accueil

    Pierre joue du violon. Une des femmes, assise juste devant lui, a un visage dur, fermé. Au milieu d'un morceau, elle se lève, l'air pas contente, comme si elle voulait partir, se dirige vers un espace libre et se met à danser! Encore un instant de grâce, riche d'émotion...

    Accueil

    Promenade ensuite dans Montréal. On s'est donné deux motifs: acheter un trépied « gorilla » pour mon appareil photo (j'ai donné le mien à Diane), et manger la meilleure Poutine de Montréal. Rue Sainte Catherine, on s'adresse à des policiers en service qui s'efforcent de nous répondre au mieux, en considérant notre question comme étant de la plus grande importance. Quel pays! Je n'ose même pas imaginer la même situation, transposée en France...

    Finalement, c'est dans un magasin de sport (il n'y a guère que ceux-là qui nous intéressent), qu'on nous recommande « La banquise ». Bon sang, mais c'est bien sûr !! François nous aait indiqué « l'igloo », ou « l'Iceberg », il ne se souvenit plus trop.

    Accueil

    Nous confirmons: « La Banquise » sert une EXCELLENTE poutine, la meilleure, et de loin, de tout ce qu'on a pu manger jusqu'alors...

    On flâne, on prend un café en terrasse, on savoure ces derniers instants, on évoque les moments qu'on a passés ensemble, l'entente sans faille de tous les jours. Il y a beaucoup d'émotion de part et d'autre.

    Accueil

    On marche encore. J'aime Montréal. C'est une ville accueillante, vivante, avec de vrais quartiers, une ambiance. Je reviendrai à Montréal (Dans un Boing bleu de mer).

    Accueil

    Accueil

    Accueil

    La rue Sainte Catherine, le quartier latin, le parc Lafontaine, et plein d'autres endroits sans doute...

    On revient au centre où travaille Bertrand, à côté de la station Parc, et il m'emmène à l'aéroport. Pierre passe encore une soirée avec eux, et prend la route demain...

    On se quitte vite fait devant l'aeroport. On n'a pas le temps de traîner, les policiers veillent à ce que les déposes soient rapides. C''est beaucoup mieux ainsi.

     


    votre commentaire
  • Retour sans histoire, avion, bus, métro, train, vélo.Besac et sa boucle.

    J'ai trouvé Paris moins belle que d'habitude, et Besançon un peu plus. J'ai retrouvé mes copains.

    Peut-être un de ces quatre je reviendrai sur ce blog donner mes impressions sur ce voyage. Là, c'est un peu tôt. Tout ce que je sais aujourd'hui, c'est que Pierre et moi nous sommes fabriqués de beaux souvenirs...


    votre commentaire