• Un petit coup de vélib pour aller à la gare, un petit coup de navette pour aller à la gare TGV, un petit coup de TGV pour arriver à Frankfort, tramway ensuite, et vers 17h j'ai pu poser mes paquets chez Ursula qui me prête son appart' pour la nuit.

    Je suis allé faire une reconnaissance à pied pour trouver rapidement la gare du S-Bahn qui m'emmènera demain à l'aéroport. 25 minutes à pied non chargé, ça veut dire le double, demain matin, en traînant mon carton de vélo.

    Ce soir, un peu crevé, et demain la journée va être trèèèès longue, alors, un peu de lecture, et hop! un peu de sommeil de gagné...

    YR.NO annonce de la pluie sur frankfort demain, je ne vais donc pas sortir mon carton de son emballage de plastique, et j'espère qu'il aura gardé sa rigidité originelle, après une semaine passée dans une cave pas vraiment sèche... On verra...

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  • Samedi 29 juin.

     

    Heureusement que j'avais bien emballé mon carton dans une bâche plastique! Pluie sur Frankfort ce matin, et 2 km à pied environ pour aller prendre le train pour l'aéroport. Mes petites roulettes m'ont bien servi, mais les trottoirs étant revêtus de pavés autoblocants mal alignés, j'ai fini par pousser mon carton rouleur sur la route (certains automobilistes n'ont pas apprécié, ach! Franzosen ! Kein Disziplin !)

    J'ai fini quand même par arriver, prendre le S-Bahn et comme je suis arrivé assez tôt, j'ai eu le temps de déballer mon carton de son emballage plastique. Pas trop de dégâts, juste un coin qui a pris un peu la flotte, là où ça a frotté quelques fois, mais rien de compromettant pour sa solidité.

    Samedi 29 juin Frankfurt am Main

    Bon. Je suis arrivé un peu tôt, mais les départs en avion, moi, ça me fait flipper. L'enregistrement des bagages, la carte d'embarquement, tout ça. Tout est informatisé, mon seul justificatif est un vague papier sorti de mon imprimante, chez moi. C'est là que je vois à quel point je suis encore de l'ancienne génération, une carte en bristol, avec marqué dessus « Carte d'embarquement », moi, ça m'aurait rassuré, comme si ce bout de carton, délivré par quelqu'un de l'aéroport, me donnait davantage de légitimité, de reconnaissance, que ce sous-produit d'un message électronique.

    L'aéroport de Frankfort, c'est quelque chose... de gigantesque. Des kilomètres de coursives, des dizaines de magasins, de bistrots, de restaurants... Les bagages sont enregistrés au C, l'embarquement se fait au B. au moins 500m de distance entre les deux.

    Le vélo et la sacoche disparaissent, l'un embarqué par un grand gaillard, l'autre sur un tapis roulant.

    Ça fait drôle de me retrouver d'un seul coup avec mon petit sac, que je dois vider de ses objets électroniques pour passer le contrôle: ordinateur, appareil photo, téléphone portable. Un petit coup de fouille quand même -avec la tête que j'ai, pas étonnant...

    La suite? 10h30 de vol, arrivée à VCV, montage du vélo sous les sourires sympathiques des résidents et du personnel de l'aéroport. Y'aurait que les touristesqui feraient la gueule? Ben finalement, oui!

    Je rate Bert ui m'envoie un message sur FB pour me dire qu’il est bien arrivé et qu'il sort.... ARRRGHH! ça c'est la super mauvaise idée: il y a deux niveaux pour la sortie, et là, on est sûrs de ne pas se trouver...

    Bon. On se retrouve et on se met à deux pour remonter son vélo. Ensuite une vingtaine de kilomètres pour retrouver Pierre V., un copain de Pierre (le mien) qui bosse comme cuistot à VCV et qui nous héberge pour la nuit.

    HMMM! une petite Gulden Draak (10,5° quand même), une bonne douche, et nous voilà repartis comme il faut pour demain.

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